Le social pour se faire de l'oseille sur le dos des plus vulnérables dans le canton de Vaud

Ces moutons noirs qui rongent l’action sociale du Canton

L’(a) (ré) intégration est un vœu noble et pieux. En son sein se meuvent l’humanité et la solidarité, pour que les personnes, souvent vulnérables, dans ce processus, puissent vite palper la vie, dans la dynamique sociale où elle déroule. Pour parer à ce déficit social, au canton de Vaud, il y a des mesures d’insertion sociale, privées et publiques, supervisées par le canton. L’individu travaillant dans ce domaine doit être sincère, altruiste et volontariste. Ayant travaillé dans la branche privée du secteur, j’ai fait l’expérience d’un monde parallèle où règnent le travail au rabais derrière le prétexte associatif, l’opacité financière, un mobbing écorchant la personnalité des travailleurs, un favoritisme familial gonflé d’une impolitesse notoire, et enfin un chantage et une négation des droits élémentaires reconnus à tout détenteur d’un contrat de travail en bon et due forme lors de son licenciement. Au lieu des règles de gestion sobres et limpides pour booster l’efficacité et l’efficience, j’ai assisté à une dictature sournoise aux préceptes flous : une perception hallucinogène et métaphysique de la problématique de l'nsertion sociale, digne d’une séance de prestidigitation et de méditation transcendantale, actée par un gourou apte à la manipulation des esprits, au charlatanisme, non un vrai manager de projet.

La personne, avec ce pouvoir subliminal, est connue dans le milieu vaudois des réfugiés, une pasionaria de l’humanitaire. Son curriculum vitae est éloquent. Autour d’elle que des réfugiés en situation précaire, pour qui (elle), elle monte des projets avec une mécanique rodée aux exigences administratives jusqu’à leur financement. Dans cette buée aux règles imprécises, il y a sa volonté claire et obscure d’avoir une main basse sur l’ensemble de la structure, en chantant une horizontalité et une transparence factices alors que s’applique une tutelle sordide, faite d’imposition scélérate et de prolifération d’une médisance maligne contre ceux que la passionaria a décidé d’avilir, pour son plaisir, avant de leur porter le coup de grâce par un licenciement intempestif. Tout en feignant l’art de l’unanimité absolue.







Devant cet hypogée aux allures angéliques, je me suis plaint à l’inspection du travail, ce qui a abouti à la démission de l’équipe dirigeante.  Après cette démission, je contestai une énième farce en cours dans ladite structure. Une lettre de licenciement me tombera dessus, signée par une présidente, fraîchement recrutée, pressée de sanctionner que de comprendre le conflit latent derrière les apparences. Les faits sont tellement graves, de mon avis de congolais, que j’ai fait une dénonciation à la Direction Générale de la Cohésion Sociale qui sponsorise la structure, mais aussi à la Direction de l’emploi et des impôts, pour que cette flibusterie soit balayée du canton.

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