Le souffle d'un aveu...
Alors pour me consoler de ce désastre
Je m’enivre d’utopies
Je retiens le passé dans les instants
présents
Priant le subconscient d’oublier sur les
étagères de sa mémoire
Les différents vides prévus pour entreposer
ces images d’hier
Je t’aime sans le cacher
Mais je ne saurai élèver de prières
Fière de ma dignité et de mon prestige
Rien ne sera entendu de ma bouche
Aucune souche d’une repentance
Pour vivre le bonheur de ton retour
Je t’assure que je me suis tu
Le poète parle dans le soliloque muet
Parcourant l’inextinguible amour
Où se remuent les palabres d’antan
De sa dulcinée ,
Et dans la pénombre de son corps svelte
Et dans la pénombre de son corps svelte
Sans pareil qui fait languir sa chair
Commentaires
Enregistrer un commentaire