La parole de l’aïeul...

Dans la brume de son désarroi apparut aussitôt un sourire pas comme les autres. Il était à la fois soucieux et anagogique. Puis une lueur éclaira sa raison étourdie, un brin de lucidité, et une voix fluide et épuisée retentit bien claire, et il put distinguer de ses yeux éblouis comme par une lumière de l’au-delà le visage buriné de son aïeul qui souriait avec un brin de malice en lui répétant sa rengaine vespérale dont il s’était souvenu un peu tard : le mal était bien consommé et son pétrin bien façonné. Il aurait dû être prudent, se promettait de l’être un peu plus. 

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