Lundi matin
Lundi matin
Loin de la brise hivernale
Près des crissements du métro
Esseulés dans leur coin
Ils se font des bises
Et, elle bien éprise, langoureusement
Elle se laisse faire
Prise, toute son âme ne semble plus lui appartenir
Sa poitrine enfle avec parcimonie
Comme pour retenir un plaisir
Qu'effrite chaque seconde qui passe
L'instant de son allégresse est volatile
Sa semaine luit déjà sous la lueur d'agréables désirs.
Loin de la brise hivernale
Près des crissements du métro
Esseulés dans leur coin
Ils se font des bises
Et, elle bien éprise, langoureusement
Elle se laisse faire
Prise, toute son âme ne semble plus lui appartenir
Sa poitrine enfle avec parcimonie
Comme pour retenir un plaisir
Qu'effrite chaque seconde qui passe
L'instant de son allégresse est volatile
Sa semaine luit déjà sous la lueur d'agréables désirs.
Commentaires
Enregistrer un commentaire