Enfin le parti populaire bien incertain de son sort à Valencia , son heroine dépossedée de ses pleins pouvoirs ...

Rita inconfortablement assise sur un trône brinquebalant à Valence

Après un régne de plus de vingt ans avec une majorité absolue à la tête de la ville de valence , Rita Barbera est arrivée à l’usure du pouvoir ; elle a gouté la sauce amère de ce camouflet aigre de son insuccés , elle l’as bien déclaré dans son discours juste quelques instants après le triste constat de l’érosion de sa majorité historique . « Ces resultats , je ne les aime pas et je ne puis vous le cacher » .

Pour une fois la coutume a été transgressée par un vote sanction prouvant que l’éléctorat n’a pas été passif face à toute l’artillerie lourde qui a été déployée pour démolir la confiance populaire dont béneficiait Rita Barbera , les artistes ont été mis à contribution pour enfoncer le clou de cette portion d’impopularité croissante qui a renversé la balance en créant le désequilibre qui a fragilisé le parti populaire à Valence .

D’autant plus que la campagne a été l’une des plus rudes qu’elle a connue dans sa carrière de politicienne , et elle a dit qu’elle avait été l’une des plus sales qu’elle n’avait jamais vécue ,surtout  avec cette fronde quasi permanente d’un groupe de femmes huantes à chacun de ces contacts avec l’éléctorat , et aussi son impopulaire décision contre la performance photographique de Cabanyal : une censure des oeuvres photographiques  - 70 photos de grande dimension - de Jorge Lopez  qui a été contre   productive en pleine période de campagne.

Sans compter les gaspillages financiers révelés dont le but s'était avéré bien loin des priorités des citoyens à telle enseigne que des actions judiciaires sont déjà ouvertes pour éclairer le flou autour de ces affaires d'argent public mal utilisé pendant sa gouvernance . 

Mais néanmoins le changement point à l’horizon , mais il est encore flou faute d’une décision ferme de citoyens qui se sont prononcés en plébiscitant des partis nouveaux sans leur accorder les pleins pouvoirs , laissant ainsi les coudées franches aux politiciens de mener les tractations en vue de la formation d’une majorité avérée pour diriger la ville .

Contrairement à la Grèce , le changement a été bien clair , et le gagnant bien connu , ici dans bien des régions comme à Valencia , il faudrait laisser le temps des concertations dire son dernier mot , espérant qu’il sera en faveur du peuple ; dans un pays en crise où les hommes politiques  excellent dans la corruption et l'arrogance démocratique , il était temps de sonner le glas d'une nouvelle ére .