Je suis le fils de ma mère...Poème...

De tes mains,j'ai tellement reçu
Infatiguable dans tes entrains,mon esprit a tellement perçu l'espoir,
Quand le noir du désespoir engloutissait mes derniéres énergies,
Ton visage brillait d'une lumiére infinitésimale que tout est encore à gagner ,
Et rien n'est encore perdu.
Tendre Mére,
Neuf mois de vie bien fragile en ton sein où tu as été la garante de ma sécurité,
Tu as veillé à ce que je sois apte pour m'assumer dans mes lendemains,
Ton regard rempli de bienveillance suivait mes pas mous sur le long chemin à peine entamé de mon destin où,
Ton esprit dessinait dans le silence que de merveilleux dessins.
Dans l'indissociable intimité de cette complicité d'antan et de toujours,
Je sais sentir le poids de tes inquiétudes latentes où la douleur triture le répos que recherche ton âme sénile,
Quant à l'avenir apaisé de ta progéniture,
Ainsi te rassasier dans tes instincts maternels d'avoir suffisamment été une mére.
J'ai vu la lumiére de ton charme de femme s'aigrir dans l'étau de la misére impromptue et téméraire,
Où ta passion de plaire se dissolvait dans les instants funeraires afin de conjuguer le missel de l'utilité sans la partition de l'agréable,
Laissant ainsi sur le banc de l'existence tous les plaisirs de ta sensualité féminine.
Je resterais éternellement fils à tes cotés pour essuyer les larmes de ta vie que tu as vécue en sacrifices perpétuels pour nous garantir un avenir meilleur,
La couleur approximative de tes rêves sur nous.

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