Nouvelles : rencontres permissives ...

Une lumière à peine perceptible traversait le salon . Nous étions sur la véranda entrain de discuter . Nous parlions de tout ce qui nous pouvait passer par les esprits . Elle avait décidé d’enlever sa robe verte qu’elle portait quand nous nous sommes rencontrés au Rio . Elle n’avait plus qu’un tee shirt long jusqu’à mi cuisses . Ses jambes longues étaient bel et bien à portée de vue , et difficile de ne pas se rincer l’oeil . Mon regard dessus était bien furtif et rapide . Des jambes longues et fines qui semblaient susciter tant d’appétit dans cette chair qui est la mienne . Elle m’avait servi de la bière à canette que je sirotais déjà . De son salon retentissait une belle mélodie de Curtis Mayfield qui me rappelait les années 90 lorsque je faisais la découverte de ce musicien talentueux .
-    Parle moi des tiens Alain , me demandait elle ses yeux bien fixant les miens dans un élan de sensualité et de curiosité . Elle voulait savoir qui j’étais bien au délà de l’homme qu’elle voyait . Après avoir posé sa question , elle s’était tue de nouveau , passant sa main gauche sur le visage pour se débarasser de certaines méches de ses cheveux qui encombraient son charmant visage .
J’ingurgitais une gorgée de biére . Puis une deuxième et je déposais mon verre sur la table à coté de son genou droit ; mon regard restait figer sur le rotule de ce genou , et un peu plus loin sa cuisse illuminait comme un rayon de soleil invectivant l’obscurité de la nuit .
Au lieu de repondre avec les paroles , c’est ma main qui se posait lentement et allégremment sur cette belle jambe qui est la sienne . Je sentais l’accélération de mon rythme cardiaque pendant qu’elle semblait s’asphyxier . Petit à petit nous rapprochions malgré que nous étions sur des fauteuils différents . Les mains se croisaient dans une indifférence totale ; elle me caréssait aussi avec tendresse , et dans ses yeux se lisaient cette éffusion complète de sentiments réciproques que nous échangions sur les instants à suivre .
Nous nous embrassions alors d’un geste bref une fois , une seconde fois , et une troisième fois sans intérruption . Alors nous nous lévions dans cet élan de concupiscence en prenant soin d’éviter les obstacles sur le chemin étroit menant jusqu’au salon .
Nous nous affalions sur le canapé . Je lui enlevais le tee shirt qu’elle portait , libérant le charme angélique de son ventre d’une femme de la quarantaine révolue . Sa peau était douce quand mes lévres éffleuraient avec hésitation son ventre . J’entendais les variations de son rythme respiratoire ascendant et descendant . Elle se consumait de désir absolu .
Je la retournais sur le dos et je parcourais la tranchée de sa colonne vertébrale avec le bout de ma langue jusqu’entre ses fesses bien charnues et moelleuses . Chaque fois que je permettais un plaisir sur son corps d’ange , des petits sons d’une joie contenue se faisait entendre , des onomatopées qui décuplaient mon imagiantion permissive et perverse.

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