Blouses blanches de la mort noire...

Semblant de soigner, des mots doux sans éteindre les maux
Que d’hypocrisie sur la palabre d’Hippocrate
Des blouses blanches pour pérenniser l’obscurité de la mort
Sa lumière accablante et dantesque invitée à ensevelir
L’aura étincelante de la vie
Dans  leurs yeux se consument la flamme de cette malice
Et une ruse affriolante où pend la mort
Influence lugubre souffle son vent
Afin que l’existence soit livrée à la potence
Du néant que vaut l’arrêt de vie, ce trou béant des ténèbres
Que des vertèbres de syllabes tissant l’étoffe soyeuse
De tes mensonges acres pour voir des montagnes de certitudes en papier
Brulées dans les feux de la désillusion

Afin de voir l’encens du désespoir obnubilé l’essentiel de l’être

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