Ma fleur de Benimaclet...

Même dans la fine lueur de l’aube timide
Eclair naissant d’un soleil à venir
Obnubilant en faisceaux lumineux l’imposante obscurité
De cette ombre évanescente de la nuit
De tes yeux verts brillent un halo de sensualité
Un érotisme enguirlandé de ton sourire délicieux où
Le charme de ton visage affriolant attise une concupiscence
Enflammant le fond des appétences
Tu devrais être, je souhaiterais que tu sois, celle avec qui je pourrais être
Si le destin pourrait accepter de s’écrire ainsi
Pour ce que tu vaux et que je pourrais à jamais avoir pour l’éternité
L’éternité, un mot sans fin sur le fil des temps, une infinitude, une vastitude illimitée
Toi, j’aime, j’aimerais, je veux, je voudrais être à jamais sous les phares de tes yeux verts

Ma fleur ibérique, ma petite fleur de Benimaclet

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