Extrait de mon manuscrit « Qu’il me soit fait selon le bon vouloir du destin »

« Je parle d’apercevoir et non écouter, encore moins d’entendre, des émissions comme la mienne n’avaient que très peu d’audimat, elles étaient suivies par des gens paraissant dans la communauté comme atypiques-parce que l’ordinairement admissible dans le pays semble être la normalité de l’absurde et de l'idiotie abrutissante, le culte et l’assimilation de l’absurdité et de cette idiotie comme une vertu indispensable, un atout évident pour survivre au chaos ambiant et jouir de la vie- et la part belle de l’attention publique, de la curiosité de la masse s’affalait sur un lit de particularités nocives, façonnant un type d’hommes enclin à célébrer avec faste cette ignominie perpétrée sur son destin par n’importe qui :une victime encensant le crime crapuleux et l’exploit lugubre de son bourreau-le cynisme du clientélisme tout court, même pas la fable du corbeau et du renard-un non sens indicible à la logique de la raison, une équation congolaise et africaine. »
Extrait de mon manuscrit « Qu’il me soit fait selon le bon vouloir du destin »
PLUMES LEGERES MABIALA…

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