extrait de mon poème je n’ai que toi Mona ma mère....

Mère bienaimé, neuf mois d’hibernation de mon embryon dans ton ventre
Sur lequel que d'attention,des caresses et des bisous ont plu sur mon existence précaire
La rassurant en affection et en sécurité
Le tout petit que je fusses baignait déjà dans les flots de ta tendresse infinie
Drainant des paroles télépathiques de ton immense désir de me voir jouir d’une vie meilleure que la tienne
Et à chaque fois que tu te taisais, les pulsations de ton cœur résonnait à mes oreilles comme une sérénade
Lorsque pour la première fois, je pouvais humer l’air frais de la terre des hommes
La chaleur soyeuse de ta poitrine obnubila mon être d’un cocon d amour tendre et sans fin où je me noyais dans un sommeil profond avec une grande conviction que je suis plus qu’ en sécurité dans ce nouveau monde où je viens d’arriver par toi
Très chère et précieuse mère comme mon âme t’es dévouée car notre intimité est indissociable, depuis le minuscule organisme que je fusse
Aujourd‘hui je suis homme avec une bonne éducation ,grâce à la rigueur de ton encadrement que je jugeais agaçant et harassant ,qui au fil des temps, a rendu ma personnalité adamantine au milieu des hommes...

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