La thérapie contre la peur :Extrait de mon roman...

J’ouvris la porte du bureau. Une porte vétuste qui semblait pleine de compassion sur l’âme en effroi que j’etais devenu : Elle grinça du haut de son charme antique comme pour émettre un signe de solidarité, un son presque symphonique proche d’une mélodie de Beethoven ou encore de Mozart. Une musicalité m’ayant crédité de cet attribut par excellence que chaque siècle d’homme reconnait en la musique. N’est ce pas qu’elle adoucit les mœurs et détend les esprits ! En tout cas, je venais de palper le bénéfice de la théorie, et y réfléchir ouvrit une brèche sur le carcan des ennuis voulant m’asphyxier dés le début de la matinée. Une réflexion qui assouplit mon esprit tendu. Une évasion dans ce monde de sons harmonieux retentissant dans ma tête jusqu’à m’arracher un sourire dans ce temps difficile. Une escapade dans les profondeurs de l’irréel où pendent l’art et l’esthétique des tons. Un moment de plaisir inouï, presqu’une folie pour les non initiés et à l’inverse de la citation d’Alain Veinstein disant : «  la poésie introduit ce qu’il faut du silence pour troubler le vacarme », je dirais que la musique introduit ce qu'il faut de la douceur pour apaiser le tumulte la peur.

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