poème :La race des hommes...
Fondre dans le
prisme des couleurs
Pour différencier
les hommes : un malheur
Ayant fendu l’âme
de l’humanité
Ayant inséminé
les préjugés de préférence
Attisant plus la
nocivité dans le commun destin des uns et des autres
Nous ne sommes
plus que des races
Au lieu d’être
des humains
Partageant les mêmes
péripéties
Inhérentes à
notre espèce
Ces instants
semblables sur la terre
Où l’humanité vire
à sa ressemblance intangible
Presqu’une ubiquité
affirmant l’indivisibilité de l’homo sapiens
Ces reflexes
meublant nos vocabulaires si différents avec un fond commun
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