-Modeste considération du poète que j’essaye d’être :PLUMES LEGERES MABIALA..


-La poésie est une introspection dans le fin fond de soi interagissant avec le monde ambiant pour donner une forme perceptible à la raison humaine de toutes ces fusions et de toutes ces frictions tacites éclaboussant les profondeurs inextricables de l’âme humaine...
-Elle est un exercice de lecture, loin de décrocher un vote d’unanimité, permet de dégager des dénominateurs communs identifiables-quels que soient les acteurs et les lieux où elle s’applique-posant ainsi des postulats de son universalité et même sa nature...
-N’affirme-t-elle pas déjà par son utilité son caractère universel puisqu’ ‘elle présente dans les 5 continents et se développant-dans des formes plus ou moins analogues-autour des mêmes fondamentaux inhérents à la vie humaine...
-Elle est sublimation d’une raison pour amplifier sa pertinence avec une absolue nécessité de l’esthétique des mots tissés d’une métaphore comme une mathématique syntaxique, appelant le commun des mortels à une assimilation méditée pour décrypter les contours absolus de son message latent...

-Elle est temporelle et contextuelle, car les agrégats sociaux sur lesquels le poète s’est inspiré peuvent s’effriter par l’usure du temps et par la péremption liée à tout fait social, aboutissant aussi à l’amoindrissement de son utilité épique et idéologique pour en conserver que la nécessite lexicale et esthétique jusqu’ à célébrer la créativité intellectuelle du poète.
-Mille poètes, mille sublimations de cette énergie qui se meut dans les abysses insondables de leurs inspirations pour embellir leur idéal et lui donner une beauté éclatante et charmante capable de séduire, et d’instruire tout lecteur touché dans sa sensibilité et dans sa rationalité...

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