Elle et moi, des instants de douce complicité....
Enfin j'y étais à ce rendez-vous pris quelques minutes plus tôt après avoir couru ci et là dans le froid vespéral pour me retrouver. Des palabres indistinctes traversaient le bar, des rires sporadiques ponctuaient les conversations. Une douce chaleur enveloppait le lieu décoré de bois et de toutes ces bouteilles perçues sur les étagères du comptoir.
Une lumière feutrée et câline éclairait le vaste espace où étaient aménagées les chaises, elle provenait du plafond et se mêlait avec la luisance de cire laquée sur le bois, baignant le lieu dans une ambiance pleine d'intense douceur et d'allégresse de vie.
Mon regard se baladait avec indiscrétion pour la chercher dans la multitude d'individus agités dans les échanges de mots. Puis je la vis dans un silence complet, me regardant de ses yeux remplis de sollicitude, de tendresse muette mais assez expressive.
Un soulagement subit remplit mon cœur anxieux, le modeste doute de l'avoir manquée de justesse disparut comme une fumée emportée par le souffle du vent. Je posai avec délicatesse mes lèvres fraîches et charnues sur ses joues douces humant au même instant le doux désir que m'insinuait son tendre parfum. Le bout de mon nez frôla par la même occasion ses cheveux lisses : elle avait une coupe qui dégraissait le poids de son âge que j'apprécia avec une pleine envie de la tâter .
Son visage laissait transparaître un sourire, une modestie de cœur, une expérience de vie ayant atteint le seuil de la maturation. Elle me fixa quelques minutes avec un sourire bien complaisant, puis me fit signe par sa montre qu'une impatience s'était déjà levée en elle, avant de me dire que ma présence avait tout arrangé.
Une lumière feutrée et câline éclairait le vaste espace où étaient aménagées les chaises, elle provenait du plafond et se mêlait avec la luisance de cire laquée sur le bois, baignant le lieu dans une ambiance pleine d'intense douceur et d'allégresse de vie.
Mon regard se baladait avec indiscrétion pour la chercher dans la multitude d'individus agités dans les échanges de mots. Puis je la vis dans un silence complet, me regardant de ses yeux remplis de sollicitude, de tendresse muette mais assez expressive.
Un soulagement subit remplit mon cœur anxieux, le modeste doute de l'avoir manquée de justesse disparut comme une fumée emportée par le souffle du vent. Je posai avec délicatesse mes lèvres fraîches et charnues sur ses joues douces humant au même instant le doux désir que m'insinuait son tendre parfum. Le bout de mon nez frôla par la même occasion ses cheveux lisses : elle avait une coupe qui dégraissait le poids de son âge que j'apprécia avec une pleine envie de la tâter .
Son visage laissait transparaître un sourire, une modestie de cœur, une expérience de vie ayant atteint le seuil de la maturation. Elle me fixa quelques minutes avec un sourire bien complaisant, puis me fit signe par sa montre qu'une impatience s'était déjà levée en elle, avant de me dire que ma présence avait tout arrangé.
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