A la Petite Princesse au confluent de trois pays....

Je te parle de rêves, de la peinture suave de tes sourires dans le brouillard de mon subconscient quand mes yeux se ferment la nuit. Je te parle de consolation, loin de l'essence incertaine et volatile de la passion. Je te parle de paix, comme ce nom si précieux que tu portes pour conjuguer le plaisir d’être ensemble , loin des tracas inutiles de la méfiance ; et du poids des incertitudes qu'il en émane. Je te parle de douceur partagée, des complicités muettes que nulle distance ne sait absoudre, d'un petit bonheur comme un bonsaï millénaire du japon impérial, enfin d'amour inoxydable comme l'or survivant des siècles durant sans perdre un brin de son éclat. Si, que je tiens à marcher avec ta main dans la mienne, conjuguant la vie dans ses plus beaux verbes jusqu'à ce que le temps ne puisse séparer la douce étreinte de cœurs et de mains qui nous tient l'un à coté de l'autre. J'aimerais que tu crois à la véracité des lettres poétiques comme à la sincérité d'un enfant rempli d'enthousiasme quand apparaît le tendre regard de sa mère. Je t'embrasse avec une paix se consolidant jusqu'à ce s'allument pour toujours les torches qui éclaireront les lointains sentiers de la destinée vers lesquels nous cheminerons rempli d'assurance de ce que nous voulons.

Commentaires

Articles les plus consultés