Une quête insidieuse, à peine dévoilée...
L’homme voit en son âme dans la femme aimée, un plaisir
édénique, une absolue affection maternelle éperdue et perdue dans la maturité de l’âge, un délice
inouï vécu dans cette complicité naturelle avec le sein maternel. La
séduction passe d’abord dans la contemplation du charme corporel de la femme, attisant un silence d’observation
pour pénétrer l’insaisissable sensation transperçant de tous bords son esprit
naïf et surpris par l'éblouissante beauté de l'être convoité, ainsi révélé.
Ainsi la passion
s’allume dans ses profondeurs, insinuant que la pleine possession de cette
présence enflammant la quiétude de son être qui ne savait plus rester paisible.
Une incomplétude vivante à travers laquelle l’homme s’identifie dans son
insuffisance pour s’assumer dans la plénitude de sa vie sentimentale à
accomplir.
Un binôme
irréfutable où se construit une harmonie de commune existence dans laquelle l’apothéose
d’exister surgit telle une lumière qui fend la nébulosité d’un ciel d’automne
avant que le froid d’hiver ne colonise complètement à souhaits un soleil devenu
subitement timide.
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