La raison est marquée de l'empreinte de l'âme...

Dans le cafouillage des imbroglios et des quolibets de bonne foi, dans le brouillard de l'opprobre malmenant mon ego écrasé par le poids de la misère, quand toutes les lumières, ayant reflété la splendeur d'autre fois, s'avéreraient clignotantes, presqu' en voie d'extinction afin que l'obscurité de la déchéance triomphe sur la vie ; je découvrais une lueur dorée et douce, ses faisceaux transperçaient de bout en bout la longueur du désespoir noir et opaque en toute impunité, violant de manière permanente son intimité, colonisant à souhaits son ubiquité pendante et morbide.
L'âme, la mienne, apparaissait dans toute sa nudité pour que je ne me trompasse point de son identité, ni ne doutasse de sa fidélité à l'existence que mon corps vit et subit sur la terre des hommes, ainsi la raison pouvait se rendre compte de cette inévitable substance lui procurant l'essence particulière afin de rendre originales ses pérégrinations dans le jardin de Prométhée.

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