Rien que le vert de la nature pour s'apaiser...

A L'épaisse obscurité de la nuit, je tendais l'oreille, au loin des balbutiements résonnaient, transportés par le vent de la pleine accalmie. Ils valaient des confidences muettes que les arbres complices se susurraient : des gentillesses et d'amabilités afin que l'harmonie de la nature soit préservée pour le bonheur de l'humanité. Ainsi avec un regard allègre, mes yeux ont appris à s'enivrer de cette complicité naturelle entre les composants de l'écosystème.
J'entendais ruisseler l'eau sur les pierres avec douceur, une entente millénaire d'où bruissait une sensualité à la tonalité exquise que l’ouïe s’émerveillait de saisir avec un bonheur inouï. Les oiseaux dans le ciel jouaient leurs premières notes de clarinette pour célébrer le jour nouveau.
Image 123RF : Google.

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