A toi,la fleur de Benimaclet...
« Je refuse
de perdre l’innocence de croire en nous puisque nous l’avons été .Je m’abstiens
de laisser le suc de la déception et de la confusion infester la pureté de ces
couleurs traversant mes rêves où tu dandines pleine de naïveté comme le petit chaperon
rouge. Je m’impose le silence de l’attente jusqu’à ce que ton esprit s’apaise
dans la quiétude de l’âge afin que nous
parlions de nouveau. Revivre nos instants de douce complicité sur ces bancs en
plein air, comme ce fut dans la chaleur vespérale et estivale de Benimaclet ; un rêve fou
auquel j’y crois comme un enfant de 4 ans à qui l’on dit que son cadeau du 25 décembre
vient du père Noël .À mon âge cela s’apparente à la folie mais je m’obstine à préserver
le charme de ce vœu à la fois si lointain et si proche, peut être improbable aussi,
mais je ne cesse d’y croire et de penser à toi »
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