Poésie....
Son induit
Suit la trace du silence,
fondant son architecture: glissant dans les interstices de son armature
Où luit une lumière
auréolant les lendemains plein d’espoir
Afin de bruire
les instants d’obscurité, et briser la quiétude de l’attente : la patience
dans ses entrailles profondes
Incisant avec une
douce désinvolture la taille de l’espérance téméraire
A l’existence s’accroche-
t-on somme toute !
Bravant toute
sommation ; annihilant toute condamnation
A l’indigence,
cette maudite damnation, inscrivant la vie sur le registre de la détresse
Où l’impatience
telle un vent
Attisant les feux
de cette convoitise ; ce besoin inassouvi
Enflammant le qui
vive de la destinée, bien meublée de la multitude de rêves
Incubés dans la
nymphe des aspirations légitimes
Aussi grandes que
ses vagues maritimes déferlant avec rage sur les étendues océaniques et pleine
dans cette infinitude de la nature
Où entend t on se
fracasser les éclaboussures des eaux sur ces rochers millénaires
Dans une
virulence frontale et presqu’un syncrétisme où fonds dans une unité de corps le
bruit des molécules éparpillées.
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